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Parler de son handicap avec humour, c'est possible !

Qu'ils souffrent d'atrophies, de différence physique ou de syndromes rares, ça ne les empêche pas de parler de leur situation de handicap avec humour sur les réseaux sociaux. Petit tour d'horizon.

Sur les réseaux sociaux, la parole s'est peu à peu libérée, y compris quand il s'agit de parler de son handicap. Et certains ne se privent pas de le faire... Avec beaucoup d'humour. Depuis les tenues extravagantes et très colorées digne d'Elisabeth II d'Angleterre portées avec fierté par Amy Evans, jeune blogueuse en fauteuil roulant, jusqu'aux tatouages arborés par Nick Santonastasso, privé d'un membre supérieur, ce qui ne l'empêche pas d'être très actif dans le sport et d'être à la tête de plusieurs entreprises prospères. Mais cette tendance ne concerne pas uniquement la génération Z et les Millenials, car de nombreux parents ont suivi le mouvement, comme Molly, mère du petit Mikey atteint du syndrome de Pfeiffer, qui publie régulièrement sur les réseaux sociaux du contenu parlant de la réalité de son fils. Quel que soit l'âge du publiant, cette nouvelle habitude a le don de mettre en lumière la réalité souvent méconnue des personnes en situation de handicap. Plus d'infos ici.