Le Death Penalty Information Center rapporte qu'en 2023, la plupart des exécutions aux États-Unis auraient probablement évolué différemment aujourd'hui, mettant en avant que 79% des personnes exécutées présentaient des problèmes mentaux, des lésions cérébrales ou des handicaps.
Cette tendance à moins d'exécutions s'inscrit dans un changement d'opinion sur l'efficacité et la moralité de la peine de mort, comme indiqué par l'observatoire.

L'affaire Phillip Hancock, dernière exécution de l'année, ravive le débat. Condamné pour meurtre, il a maintenu avoir agi en légitime défense. Malgré des recommandations de commutation de peine, le gouverneur n'a pas cédé, suscitant des appels à un moratoire sur les exécutions. La concentration géographique persistante des exécutions, principalement dans le Sud des États-Unis, soulève des questions sur l'équité et la pertinence de la peine capitale.

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