Au début, ce n'était pas gagné. Il a fallu une dizaine de séance pour que les danseurs, les accompagnants et les chorégraphes apprennent à se connaitre et à dépasser leurs particularités.
Une fois échauffé, c'était réussi et l'expérience sera réitérée l'année prochaine avec 15 participants maximum. Mais pour y participer, il faut adhérer à l'association.

Pour créer une homogénéité dans le groupe, il fallait tenir compte des différences de chacun et des particularités de chaque handicap. "L'expression physique ne se limite pas qu'à la parole mais avec tous les sens exacerbés et notamment le regard".

A chaque nouveau groupe correspond ses challenges. Il fallait innover pour contourner ce qu'empêchait de faire les fauteuils ou autres soutiens au niveau de la mobilité ou de la gestion de l'espace.

C'est dans le respect de chaque personne avec ses particularités, le mélange des genres et des capacités de chacun que la danse inclusive réalise les possibles.