Six ans après la création d’un réseau de bus urbain, aucune adaptation des quais ou des bus n'a été prévue. Les personnes handicapées qui souhaitaient voyager devaient soit trouver d'autres moyens soit compter sur l'aide d'autres voyageurs. Pour combler ce manque de service public, la ville a décidé de participer aux frais en payant la différence entre le prix du taxi et d'un ticket de bus.

Deux monospaces, seront aménagés d’ici la fin de l’année pour recevoir tout type de fauteuil. A terme, la mairie en prévoit cinq, qui pourront également prendre en charge des clients valides. 4,5 millions par voiture, seront payés par la mairie.

Au total, le service de la voirie et des transports, à l’origine du projet, a demandé un budget annuel de plusieurs centaines de milliers d'euros en année pleine.