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Mélanie habitante d'Anderlecht dénonce l'insalubrité des stations de métro bruxelloises

Odeur d'urine insoutenable, murs couverts de saleté honteuse, ...

Cette mère de famille se questionne au sujet des missions de nettoyage et se demande si certaines stations ne sont pas oubliées. Avec ses trois enfants, elle emprunte parfois les transports en commun. Une étape qu'elle redoute compte tenu de l'insalubrité de certaines stations de métro.

L'utilisation des transports publics est finalement devenue une épreuve.À la station Clemenceau, c'est l'ascenseur qu'elle doit emprunter avec sa poussette qui la dégoûte, celui-ci est dans un état épouvantable. Elle ne se sent pas en sécurité avec sa poussette et son bébé dans cette crasse et cette odeur. Les utilisateurs de la Stib méritent de faire usage d'infrastructures propres et saines. 

La Stib met-elle tout en œuvre pour rendre les stations propres et fonctionnelles ? Les navetteurs sont plutôt partagés. 


Chaque année, la Stib débourse 9 millions d’euros pour rendre ses stations propres. À compter de 6 h du matin, les équipes de nettoyage sont déployées. En tout, près de 90 travailleurs travaillent au sein du réseau chaque jour.